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Dimanche 12 février 7 12 /02 /Fév 00:00

Continuons la catégorie dessin avec un extrait d'une B.D d'une esclave du sexe....mais cette fois ci avec beaucoup plus de lecture ;-)

 

To be continued ;-)

Alors messieurs "Samsex" et "Jveu"....bon courage pour la traduction, il y a du travail mais je sais que vous pouvez le faire !!

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Par Kraftmode - Publié dans : Dessin: lunettes
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Commentaires

C'est vrai ça dommage que c'est pas en français..
commentaire n° :1 posté par : Laurent le: 12/02/2006 à 05h56
tres belle bd mais là c bcp de boulot pour mes capacités je démissionne lol @+ samsex
commentaire n° :2 posté par : samsex le: 16/02/2006 à 02h30

Bien d'accord avec Samsex : y'a du boulot...

 




 



Bon je vais m'y risquer...

 




 



Page 1 :

 



-Il est temps de te montrer qui je suis ! Et la question est...

 



Commentaire : C'était Jack Grissom, mon boss ! Je n'en avais aucune idée ! Je ne savais même pas qu'il était pervers.

 



-...Seras-tu d'accord pour être mon esclave sexuel ?

 



-Oui, Jack ! Tu le sais. Et maintenant, pour l'amour de Dieu, vas-tu me baiser ?

 



Commentaire : La réponse fût immédiate et sans ambiguïté ! A l'évidence il resterait en retrait jusqu'au moment ou il se révèlerait de lui-même. Ou jusque à ce que je sois assez chauffée pour le supplier ! Je suppose qu'il avait eu besoin de s'assurer que je serai son esclave de ma propre volonté avant de me sauter. Alors que moi, après deux jours à ce traitement, je mourrais d'envie de recevoir sa queue. Et maintenant que j'étais d'accord, il était dur et près à me mettre.

 




 



Page 2 :

 



Commentaire : Comme si je n'étais pas assez excitée, il me mit des pinces sur les tétons et un bâillon-pénis sur
la bouche. Ensuite
après avoir abaisser la perche à laquelle j'étais attachée, il commença à doigter ma petite moule chaude et humide ! Il me rendait folle ! Je tournais contre ses doigts sans scrupule, comme une chatte en chaleur ! Ce n'est que quand il entreprit d'utiliser ses doigts trempés dans mon étroit et plissé rectum que je compris où il voulait en venir. D'un coup je le voulais dans mon cul plus que tout au monde ! Je me cambrais au maximum pour faire sortir mes fesses... Et soudain la perche s'enfonça dans le sol me laissant avec mon cul poisseux tourné vers le ciel !

 




 



Page 3 :

 



Commentaire : J'étais penchée en avant, bien écartée et sans défenses... C'est alors qu'il défit son pantalon et que je puis jeter un premier coup d'oeil sur sa bite. Elle était énorme ! Je savais qu'il était impossible qu'il enfonce ça dans mon minuscule trou du cul ! Je voulais crier de terreur, mais tout ce qui sorti de mon bâillon fut une plainte étouffée. Il commença à pousser son gland contre mon anus plaintif... De plus en plus fort... Et d'un coup il entra !!!

 




 



Page 4 :

 



Commentaire : La monstrueuse bûche forçait son chemin de plus en plus loin jusqu'à ce qu'elle s'enfonce jusqu'à la garde dans mes entrailles en feu... Je n'osais plus bouger, même pas respirer... Et il commença à me sodomiser, lentement et profondément. Je soupirais et m'agitais comme une feuille dans le vent. Je savais que je ne pourrais pas supporter ce traitement... Mais peu à peu, le plaisir pris le dessus sur la douleur alors qu'il me défonçait de plus en plus rapidement. Je ne saurais dire si mes plaintes démentes étaient d'agonie ou d'extase ! Ce moment devenait ma plus grande expérience de baise de ma vie ! Je ne me rappelle plus combien de fois j'ai joui.

 




 



Page 5 :

 



Commentaire : Une fois qu'il se fût retiré, j'eu le sentiment d'avoir traversé une guerre… Il m'attacha à nouveau et enleva mon bâillon… Je savais ce que Jack voulait. L'humiliation finale, sucer sa bite pour la nettoyer alors qu'elle sortait de mon cul. Je n'eu aucune hésitation ! Une fois que j'eu fini, je su que j'avais enfin trouvé mon maître ! Je ferais tout ce qu'il voudrait.



La suite plus tard ! Je vais bosser un petit peu ;-)

commentaire n° :3 posté par : jveu le: 20/02/2006 à 12h05

Thank you...."Jveu" !!

La suite quand tu veux ;-)

réponse de : Kraftmode le: 21/02/2006 à 00h27

La suite...


Page 6 :
Lors des 4 mois qui suivirent, je ne fût rien d'autre que le jouet de Jack. J'étais torturée et humiliée chaque jour, forcée à le supplier de me donner son énorme queue ! C'était l'extase !
Jack se débarrassa de mon appartement et mît toutes mes affaires en garde-meubles. Il me versait toujours un salaire mais je ne pouvais évidemment pas quitter la maison pour le dépenser. Je n'avais d'autres occupations que de plaire à Jack et à subir ses punitions. C'est la vie dont j'avais toujours rêvée sans jamais avoir osé l'espérer !
Je finis par apprendre que c'était Jack qui avait engagé les 3 voyous pour me kidnapper. Il était membre d'un réseau de SM clandestin et avait entendu parler de mes escapades grâce à mes petites annonces secrètes. Je suppose qu'il avait décidé de m'avoir comme esclave sexuel à la place de son employée et avait arrangé ma capture. Tout ceci aurait dû me contrarier, mais tout ce qui m'importait était la grosse queue de mon maître, violette et luisante...


Page 7 :
Au bout de 4 mois, Jack m'envoya chez une de ses amies, Maîtresse Bella. Elle dirigeait une sorte de maison d'hôtes très privée dans le Yorkshire. Je ne voulais pas y aller, mais comme c'était la volonté de mon Maître, j'obéis.
Maîtresse Bella était encore plus cruelle que Jack. Dès mon arrivée, elle m'emmena au sous-sol, me déshabilla et m'attacha à un tréteau en bois !
La raclée qu'elle m'infligea fût violente et j'eu presque un orgasme vers la fin !


Page 8 :
Après un consciencieux jet de détritus, je compris quelle sorte de gîte c'était vraiment quand Bella me mît un mors à cheval dans la bouche et un harnais de poney !
L'entraînement était rigoureux et elle rossa pendant des heures mon pauvre derrière douloureux à chaque petite erreur !


Page 9 :
Le lendemain matin, elle me considérait prête ! Ne portant que mon harnais de cuir, ma chatte rasée dévoilée, elle m'emmena dehors...
Mes tétons durcis par le froid matinal, je m'approchais de la charrette. Je me sentais excessivement nue et vulnérable. Mais j'étais très excitée également...
Alors que je me prenais avec hésitation ma position, j'entendis Bella dire à ce gros bonhomme d'âge moyen dans la carriole de me faire travailler durement en me fouettant fréquemment. Je commençais à trembler...


Page 10 :
La longue cravache s'abattit contre mes fesses frissonnantes et nous commençâmes à avancer !
L'homme était lourd  et je devais forcer pour le tirer sur le chemin. Il fouettait mon pauvre cul constamment en me demandant d'aller plus vite !
Finalement il m'ordonna de m'arrêter dans une clairière ensoleillée et de m'agenouiller. J'haletais, ma peau trempée de sueur.
Il me pencha en avant et me baisa brutalement. Après avoir joui en moi, nous repartîmes.

commentaire n° :4 posté par : jveu le: 21/02/2006 à 14h08

Suite et fin !


Page 11 :
Alors que nous continuions, la cravache frappant contre mes chairs sans défense, je me sentais plus soumise que jamais...
Le jus de cet homme dégoulinait de ma chatte tandis que je trottinais.
Etre une fille-poney était merveilleux. Je servi dans l'étable de Maîtresse Bella pendant 1 mois, faisant faire le tour du propriétaire à ses clients, me faisant fouetter et recevant leur semence sans me plaindre.
Ce fût un temps délicieux, même si mon maître me manquait terriblement.


Page 12 :
A mon retour au donjon de mon maître, quelque chose avait changé. Je ne savait pas quoi. Mais c'était plus froid et son contact différent.
Il semblait être encore plus cruel. La première nuit il me tortura sans pitié. Le supplice m'excitait comme toujours, mais quelque chose manquait.
Il me battit jusqu'à ce que j'en pleure, puis commença à punir méthodiquement mes tétons et mes grandes lèvres avec une dangereuse paire de pinces en fer. Enfin il apporta un nouveau truc...


Page 13 :
Il me laissa là avec cet appareil serré sur mes mamelons pendant une heure ! C'était affreux... Le moindre mouvement les faisait danser comme une paire de balancier ! A force de tout faire pour rester immobile mes muscles se tétanisaient et commençaient à trembler...


Page 14 :
Je me sentais tellement délaissée... Tout se que je pouvais faire était rêvasser et agoniser doucement, balançant mes hanches pour que la lanière viennent frotter mon clitoris...
Au retour de Maître Jack, je le suppliais de me libérer ! Il se contenta d'enlever les pinces de mes seins... Mais il me monta au plafond et me flagella mon intimité exposée !
Je coulais tellement que je pouvais sentir mon jus couler le long de ma raie. Mais Jack se moquait de mon excitation...


Page 15 :
Je ne reçue que plus de torture tout en restant suspendue !
Cela continua encore et encore, et ma chatte ne désirait qu'une chose : être touchée... Cela faisait un moins que je n'avais pas reçue sa grosse queue en moi ! Je n'avais de cesse de le supplier de me sauter, mais il n'y avait rien à faire !
C'était affreux mais ce n'était qu'un échauffement.
Après des heures de châtiment, il me révéla son ultime dégradation.
Jack : Dee, je te présente Sarah, ma nouvelle secrétaire... et ma nouvelle esclave sexuelle !!
J'avais été remplacée.


Page 16 :
J'ai perdu connaissance. A mon réveil, j'étais accrochée la tête en bas...
Et attachée peau contre peau contre Sarah, nue. Sa vulve excitée était à quelques centimètres de mon visage, sa langue avide travaillant activement ma douloureuse fente mousseuse !
Mais qu'espérait cet enfoiré ? Que je fasse une partie avec sa nouvelle esclave sexuelle ?!?
C'était plus que je ne pouvais en supporter ! cependant quand il enleva mon baillon et m'ordonna de lécher, je ne pu me dérober ! Et j'ai léché. Et avec le jus de ma remplaçante coulant sur mon visage  je suis venu comme un train express !

commentaire n° :5 posté par : jveu le: 22/02/2006 à 13h40
Désolé pour le double post... Le premier n'apparaissant pas j'ai réessayé, et voici que maintenant y'en a deux... Bon n'hésite pas à virer le deuxième (et celui-ci au passage)...
commentaire n° :6 posté par : jveu le: 22/02/2006 à 13h49
MERCI pour ta participation...belle traduction ;-)
réponse de : Kraftmode le: 02/03/2006 à 00h09
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